[Poème retrouvé dans un carnet oublié, né sur une route de Macédoine, il y a longtemps…]
Quand le sourire s’annonce
Et le visage s’étend
La douceur m’étreint
La voilà ma beauté.
Plus je m’avance, plus je lâche
Pour embrasser l’ivresse
Dans la force et la joie
A ne vouloir que si peu.
Tu m’attendais, je t’ai trouvé
En moi-même, de l’autre côté des montagnes.
Mon paradis perdu
Mon ange déchu
Un cillement nous sépare du chaos
Et du bonheur aussi.
Puissions-nous, toujours,
Nous retrouver sur la route.